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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 23:08

D'Aubert mettrait-il en place

un régime spécial à la mairie de Laval ?

  

 Au moment où le conflit social sur la défense des régimes spéciaux de retraites se durcit, alors que la "réforme" Fillon de 2003 a modifié notre régime de retraite, nous obligeant à partir après 40 ans (bientôt 41 ans) au lieu de 37 ½ ans, M. d'Aubert serait-il en train de prendre le contre-pied de son parti, l'UMP, et de ses amis du gouvernement ? 

 Est-il en train de vouloir démontrer que travailler plus longtemps est absurde ? Qu'il faut revenir à une retraite dès 55 ans ?

On pourrait le croire si l'on ne le connaissait pas aussi bien !

Voici le mail reçu par une de nos collègues lui parlant de retraite alors qu'elle n'a que 57 ans :

 -----Message d'origine-----

 De:                                             Prat, Annie

 Date:                                         jeudi 8 novembre 2007 13:57

 À:                                               Trotabas, Blandine

 Objet:                                        RE: Prévision

 Je partirai à la limite d'âge, 65 ans, si dieu me prête vie, soit le 4 septembre 2015.

 -----Message d'origine-----

 De:                                     Trotabas, Blandine

 Date:                                 jeudi 8 novembre 2007 11:20

 À:                                       Prat, Annie

 Objet:                                Prévision

 Bonjour Madame Prat,

Dans le cadre de la gestion prévisionnelle, je souhaiterai savoir si vous avez déjà réfléchi à la date à laquelle vous aimeriez partir en retraite. Si tel est le cas, pourriez-vous me faire part de cette dernière.

En vous remercient,

Très cordialement,

Blandine TROTABAS DRH

D'Aubert doit s'expliquer !

 

 

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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 22:51

 Petite annonce

Ville de Laval échangerait projet de construction d'un Conseil de Prud'hommes et projet de construction d'un Tribunal de Commerce en panne au fond d'un trou contre 2 tribunaux d'instance, et un festival de musique en soulte.  

 

   S'adresser à Dati Rachida et d'Aubert François.

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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 22:23

C'est cyclique !!!

 

 

18 novembre 1994 : Ayache publie son bel organigramme sur papier glacé   1er novembre 2007 : d'Aubert publie son bel organigramme sur papier glacé  

Dans les 2 cas, ce superbe document sur papier glacé aura la même utilité qu'une carte postale, le soleil en moins, ou qu'un faire-part de décès, le chagrin en moins...

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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 17:35

Plusieurs de nos collègues des services culturels nous ont fait part de leur malaise face à certains aspects de la politique culturelle de l'actuelle municipalité.

 Et cette fois-ci, il ne s'agit plus d'histoire de poux, si ce n'est ceux que le maire et son entourage cherchent dans la tête de plusieurs acteurs culturels mayennais.

 Ecole de musique : des COUACS dans le "management"…

   Tout d'abord, nos collègues professeurs de l'école de musique, qui se voient refuser toute promotion depuis plusieurs années, et ce pourrait être encore le cas lors des CAP du 15 novembre prochain. Certains se voient même stigmatisés, leur compétence mise en doute dans des rapports sur mesure établis sur le fonctionnement de l'école, instrumentalisés (c'est le cas de le dire !) comme justification pour les évaluer, bloquer leur carrière, tenter de les intimider. 

 Ces rapports, la municipalité s'est bien gardée de les présenter au Comité Technique Paritaire, comme il se devrait, car leur vraie nature et leur inspiration ne manqueraient pas d'apparaître à l'issue des débats.  

 Aussi, Force Ouvrière a mis en place un groupe de travail composé de fonctionnaires de haut niveau pour en démonter la malice et la méchanceté, et mettre à bas la prétention qui les anime de faire croire à tout un chacun que ce qui s'est fait à l'école de musique de Laval depuis 25 ans n'était pas valable.

  Nous aurons l'occasion d'en reparler…

 

 

 

      Salon de la BD : qui trop embrasse…  

 

    

 

     C'est ensuite l'action municipale pour le moins maladroite vis à vis de ce qui était un grand rendez-vous culturel : le salon de la BD, reconnu au niveau national. Pendant 16 ans, l'Association Lavalloise des Amateurs de Bandes Dessinées avait su créer, pérenniser, faire vivre ce salon qui attirait des milliers de visiteurs, et de très grands auteurs. C'était aussi un formidable exemple de ce que la vie associative mayennaise peut faire et réussir, dans une ambiance conviviale.  

 Dès lors, comme l'explique un de nos collègues, "la Ville de Laval en tirait forcément bénéfice, mais en sachant se limiter à un rôle de partenaire et de soutien technique".

 Cela n'a pas suffit à François d'Aubert et à son entourage : la volonté de tout régenter, de tout s'accaparer, l'a amené, au 1er septembre 2006, puis au 1er septembre 2007, à recruter à la Ville le Président de l'Association, sur le grade d'Attaché principal, "chargé de mission au développement des Arts Visuels".  

 

 

    En fait de "développement", d'Aubert introduisait un ver dans le fruit, et la discorde dans l'association. Beaucoup de ses membres n'ont manifestement pas apprécié cette mise sous tutelle.

 Par respect tant pour le Président, aujourd'hui débarqué par les membres, que pour l'association elle-même, nous ne commenterons pas ces évènements.    

   Lors des Commissions paritaires, les 30 juin 2006 et 21 juin 2007, les représentants FO ont voté un avis favorable pour le détachement du Président dans la fonction publique territoriale de la Ville de Laval car, étant professeur, il était fonctionnaire d'Etat et FO se félicitait que, pour une fois, un recrutement soit respectueux du statut, par une passerelle légale entre les 2 fonctions publiques. Par ailleurs, la municipalité présentait volontiers ce détachement dans les services municipaux comme un moyen d'aider l'association. Bref, une super subvention.  

 

 Mais qui trop embrasse finit par étouffer, et d'Aubert aura bel et bien porté un coup fatal au salon de la BD. Sur leur site web, l'Association Lavalloise des Amateurs de Bandes Dessinées annonce qu'elle "n'organisera pas le festival 2008 mais se penche sur d'autres projets BD…" 

 Comme un éléphant dans un magasin de porcelaine…

 Nos collègues apprécient de moins en moins ce qui se trame aujourd'hui autour du festival des 3 éléphants. Depuis quelques semaines, et l'annonce de son possible transfert à Laval, le département de la Mayenne est agité d'une violente polémique, qui prend même des allures de confrontations entre la Ville et le monde rural. Il faut dire que depuis son échec aux élections législatives du 17 juin dernier, d'Aubert se recentre entièrement sur Laval (sauf les jours où il est à Paris, bien évidemment) pour tenter de conserver sa mairie.

 Ce festival des 3 éléphants (les "3 éléph", ou les "3 f" comme l'appellent affectueusement ceux qui le fréquentent) existe depuis 10 ans et s'identifie totalement au cadre qui l'a vu naître et grandir : Lassay-les-Châteaux.  16 000 festivaliers sont présents pendant les 3 jours.

 

 

 

Le maire de cette commune, Bertrand Hallier, déplorait dans Ouest France du 25 octobre : "Non, Laval ne mérite pas le festival des 3 éleph, Laval se paie le festival, c'est tout à fait différent… C'est trop facile de récupérer un festival déjà bien rodé à la réputation solide en agitant juste un porte-monnaie bien garni. Pourquoi ne pas continuer sur la lancée et aller chercher le festival de l'humour de Cossé ?".

 "C'est du vol" s'indigne Pascal, un commerçant de Lassay dans Ouest France du 18 octobre.

 Une explication est donnée par un organisateur dans le Courrier de la Mayenne du 4 octobre 2007 : parlant de "rééquilibrage" géographique (ce qui ne manque pas de sel…), il estime que le transfert correspond au "grand projet pour les musiques actuelles à Laval" et "coïncide aussi avec l'arrivée de Jean-Christophe Chédotal à la tête de Laval-Spectacles, lequel est une chance pour la ville".

 Ces derniers jours, un grand forum sur le site web de Ouest France oppose partisans et adversaires du transfert du festival à Laval.

Plusieurs y voient une opération électoraliste de M. d'Aubert vers les jeunes. D'autres dénoncent la main-mise de Laval Spectacles sur le festival. Un internaute, Jeff de Laval, paraît particulièrement bien informé des tractations en cours : d'Aubert aurait promis 50 000 € en 2008, 75 000 € en 2009 et 100 00 € en 2010. Or, les élus de Laval, seuls habilités à décider l'attribution de ces subventions, ne sont pas au courant. Dans cette affaire, l'éléphant d'Aubert tromperait-t-il énormément ?

 Pour beaucoup, Laval n'avait qu'à créer son propre festival sans manœuvrer pour récupérer celui de Lassay.

 "C'eut été plus correct", précise un collègue du secteur culturel, "et plus valorisant pour nous professionnels lavallois, car il ne faut pas avoir peur d'innover, de créer. En fait, ce transfert ne nous rend pas fiers. L'ouverture du théâtre de Laval va déjà mobiliser beaucoup de crédits, et rien n'est assuré quant à la capacité financière de la Ville de Laval d'apporter effectivement une manne conséquente au festival, d'autant que le problème de la charge financière pour la réfection de St-Julien reste entier. Quant au lieu d'implantation, sauf à neutraliser une fois de plus le Centre ville pour lui offrir un cadre digne de ce nom, avec tous les problèmes liés au commerce et à la sécurité, je ne vois guère que le Parc des expositions de St-Berthevin, ou la plaine d'aventure St-Nicolas (où des plantations fragiles sont pourtant prévues pour 2008 !), et ça ne vaudra jamais le décor et l'ambiance de cette formidable petite ville qu'est Lassay et son château".

 Et chacun de se souvenir alors du surnom dont l'ancien maire, André Pinçon, avait en son temps affublé François d'Aubert : le "Coucou", celui qui fait son nid dans le nid des autres…  

 

 

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27 octobre 2007 6 27 /10 /octobre /2007 22:05

Dans notre article du 25 octobre 2007, « S'informer pour comprendre », nous vous donnions l'adresse des deux sites de campagne des deux candidats déclarés aux municipales de Laval: Messieurs d'Aubert et Garot.  

 De nombreux lecteurs nous ont alertés en nous indiquant que notre lien vers le site de M. d'Aubert ne fonctionnait pas et qu'ainsi nous aurions favorisé l'un des candidats en lice : M. Garot au détriment de M. D'Aubert.  

 Le Vecteur Libre et Indépendant a diligenté une enquête dont les conclusions sont toutes autres. En effet, il n'en est rien, notre lien fonctionnait parfaitement le 25 octobre 2007 et c'est tout simplement le site de M. D'Aubert qui ne répond plus depuis le 26 octobre 2007, lendemain de la publication de notre article !  

 Le Vecteur Libre et Indépendant n'est donc en rien responsable de ce qui pouvait être perçu comme une rupture d'égalité de traitement entre les deux candidats. En réalité, les informations que nous avons pu recueillir indiquent que les publications de notre article et de l'adresse du site de M. d'Aubert ont déclenché une grosse colère de ce dernier, laquelle s'est abattue sur le cabinet. C'est pourquoi, le site de M. d'Aubert ne répond plus ou plus exactement diffuse un unique message très laconique : « Ce site est momentanément fermé. Retrouvez prochainement François d'Aubert sur son Blog » (voir ci contre). 

 Dès lors une question se pose : en quoi le contenu du site de M. d'Aubert posait  problème, au point de le fermer avec une telle précipitation ?  

 Nos lecteurs ont le droit de savoir !  

 Fort heureusement, il est très difficile, voire impossible, de faire disparaître une information qui a été publiée sur le web, il en reste toujours une trace. Grâce au cache du fameux moteur de recherche Google, nous avons pu retrouver la page d'accueil du site de campagne de M. d'Aubert en l'état où elle a été mémorisée le 21 octobre 2007, jour où nous préparions notre article. Nous la publions ci-contre, il vous suffit de cliquer sur son image pour en découvrir le contenu en détail.  

Comme vous pouvez le constater, sur le site de François d'Aubert, à la date du 21 octobre 2007 :

  • -Il était toujours  haut représentant pour la réalisation en France du projet ITER,
  • - Il n'était pas question de la présidence de la Cité des Sciences de la Villette,
  • - Les dernières "news" étaient la visite au centre de loisirs des Fourches et la remise des Palmes Académiques à Catherine Fayal,
  • - Enfin, il ressassait sa défaite en remerciant ses derniers supporters...

Ainsi, chacun pourra se forger sa propre opinion sur les raisons de la brutale disparition du site de campagne de M. d'Aubert...

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24 octobre 2007 3 24 /10 /octobre /2007 21:29

Que se passe-t-il à Laval-Agglo pour le remplacement de Jean-Pierre Bonet, le Directeur Général des services qui part en retraite dans quelques jours ?  

La succession paraissait simple : Jean-Jacques Delory , le Directeur Général des Services de la Mairie de Laval, était le candidat naturel. Pour plusieurs raisons : tout d'abord, de façon secondaire, il pense que l'avenir de la carrière territoriale pour les cadres de "haut niveau" (c'est ainsi qu'il se considère…) est désormais dans les agglomérations plutôt que dans les mairies.  

 Mais surtout, il ne cachait plus à son entourage un certain ras-le-bol, notamment de ces syndicats qui lui rendent la vie bien difficile.  

 Il s'apprêtait donc à sa nouvelle carrière. Certes, un autre candidat lorgnait la place, lui aussi bien vu du système d'Aubert, avec le secret avantage d'un réel œcuménisme…   

Mais Jean-Jacques Delory pouvait se prévaloir d'une véritable légitimité. La Ville n'aurait plus eu alors qu'à racheter la maison du 11 rue Gaultier de Vaucenay et l'Agglo celle de la rue de Nantes : simples formalités notariales…

Et puis un 3ème candidat s'est pointé : l'outsider, fin manœuvrier, un artiste, devenu, ces derniers temps, particulièrement assidu dans les réunions de l'UMP. (Il y a en fait 2 autres candidats, mais qui n'ont aucune chance).  

 Les faits vont lui donner raison, même si le statut l'empêche de pouvoir réellement postuler.  

 De fait, le remplacement de Jean-Pierre Bonet ne semble plus à l'ordre du jour, et l'on se dirige vers un intérim de quelques mois par l'outsider, actuellement DGA de l'Agglo.  

 En effet, en grande difficulté pour les élections municipales du 9 mars 2008, d'Aubert, qui a perdu son siège de député le 17 juin dernier, va devoir composer, et même partager un hypothétique pouvoir avec François Zocchetto. Ce dernier deviendrait (promis, juré…) président de Laval-Agglo. Et, bien évidemment, il n'est plus possible de lui imposer un Directeur général des Services qu'il n'aurait pas choisi.  

 Jean-Jacques Delory semble bien marri de ce qui lui arrive, et croit ressentir douloureusement en lui des marques d'ingratitude,  à tel point que ce grand amateur d'aviation commence à regarder vers d'autres cieux. Il sait que les mois à venir ne seront pas des plus agréables pour les emplois fonctionnels, qu'il y aura bien du monde sur le marché à participer au traditionnel jeu des "chaises musicales" après le mois de mars, qu'il serait peut-être plus prudent d'anticiper…  

 Depuis son arrivée, Jean-Jacques a régulièrement fait travailler pour la mairie des cabinets de recrutement. Ces derniers, pour l'anecdote, disposaient d'ailleurs des coordonnées exactes de certains cadres bien gênants qu'ils relançaient régulièrement en leur proposant des postes bien loin de la Mayenne sans qu'ils leur aient rien demandé. Ces cabinets, donc, vont lui renvoyer l'ascenseur, et il s'estime désormais libre de tout engagement vis à vis de son actuel employeur… 

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24 octobre 2007 3 24 /10 /octobre /2007 21:10

Lors de son arrivée en juin 1995, François d'Aubert a immédiatement lancé 3 chantiers :

 - Le déplacement du projet de construction du nouveau Tribunal vers la Place St-Tugal, en faisant venir précipitamment le nouveau Garde des Sceaux, Jacques Toubon, avec le résultat que l'on sait.

  - Le capitonnage des portes de son bureau (à l'initiative empressée de ses proches, plus exactement) car ses colères homériques risquaient de profiter à tout le monde, et notamment aux usagers de la mairie, peu habitués jusque-là à un tel vacarme de la part du paisible André Pinçon.

 - La recherche d'un manège, plus exactement d'un carrousel, comme quand il était petit (la foire du trône à proximité du trône du roi Ubu, en quelques sortes…).

  C'est ce troisième projet qui fait aujourd'hui l'actualité, car ça ne tourne plus rond.

 Tournez manège…

 Après bien des recherches, infructueuses, le projet de carrousel, fort sympathique au demeurant, fut confié à la SACOLA, bras à tout faire de François d'Aubert. Lors d'une assemblée générale extraordinaire convoquée le 11 mars 2003, elle a décidé d'étendre considérablement son objet social. Laval info dans son n°80 de mars 2003 présente ainsi la nouvelle opération de la SACOLA : la gestion d'un manège dans le jardin de la Perrine.

 Mais son rêve, c'est un vrai carrousel en centre ville. Et il le réalise fin 2005. La SACOLA se voit obligée d'acheter pour  370 000 € (2,5 Millions de francs) un superbe Carrousel, et en confie la gestion à un industriel forain. Ce bon professionnel s'est vu infliger un loyer particulièrement élevé (4 300 € par mois, soit 28 206,15 F), alors même que la SACOLA ne loue l'emplacement à la Ville que 170 € (décision municipale n°83/05 du 17 décembre 2005 et une convention en date du 23 décembre 2005) : il faut en faire des tours à 2 € pour amortir un tel loyer !!!

De fait, l'industriel forain se voit refuser toute révision à la baisse et subit au contraire des hausses régulières. Aujourd'hui, il doit cesser son activité au 1er décembre après avoir donné son préavis de 3 mois. D'Aubert va sans doute apprendre ce fait avec notre article, car il est probable que la SACOLA ne lui a pas encore avoué qu'à Noël, les petits enfants lavallois ne pourront pas "tourner manège". Quand il va l'apprendre, on comprendra alors une fois de plus que son entourage avait bien fait de faire capitonner les portes de son bureau…  

 

 

 

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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 22:14

Régime indemnitaire, primes, heures supplémentaires payées, contrats, parité avec Laval Agglomération…

FORCE OUVRIERE EXIGE LA TRANSPARENCE !

 Un malaise certain se développe depuis plusieurs mois au sein des services. De nombreuses rumeurs se répandent, faisant état d'une accumulation de disparités de traitement notamment pour ce qui concerne l'attribution du régime indemnitaire, des bonifications indiciaires, des heures supplémentaires systématiques, des recrutements sur contrats à des indices particulièrement élevés (avec cumul de primes), et tout ceci en dehors des dispositions arrêtées dans les délibérations du Conseil Municipal après avis des instances paritaires.

On peut même parler d'un climat délétère, révèlé plus particulièrement à l'occasion de l'évaluation.

De nombreux témoignages nous sont déjà parvenus. Certains collègues mênent actuellement des actions individuelles pour tenter d'obtenir un bonus financier précisément en faisant état de ce qui serait déjà pratiqué dans d'autres services.

M. d'Aubert doit mettre un terme à la rumeur : nous lui demandons de remettre aux représentants du personnel au CTP et aux CAP un état exhaustif et nominatif de tous les compléments de salaire (nous rappelons que les représentants paritaires sont tenus au secret sous peine de poursuites).

Ceci a déjà été fait le 1er juin 1994 par M. Roland Dumet, Adjoint au personnel et M. Patrick Ayache, Secrétaire Général, dans un document de 96 pages. Voici la lettre d'accompagnement de ce document, sa couverture et un extrait rendu anonyme. Nous demandons sa mise à jour.

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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 22:11

Ecoles :

Le "fabuleux" testament de Monsieur TROADEC

Piqué au vif par les critiques des élus de l'opposition, André Troadec, Adjoint chargé des écoles, veut partir en beauté. Il n'admet en effet aucune observation sur ce qu'il considère comme "son œuvre". Et pourtant, les parents d'élèves, les enseignants constatent quotidiennement que la maintenance de certains locaux d'écoles publiques laisse vraiment à désirer.

Pour rétablir ce qu'il considère comme LA vérité, André Troadec a donc décidé de s'auto-évaluer et a passé commande, aux frais du contribuable, d'un véritable film de propagande, sans nuance, décrivant le monde merveilleux qu'André Troadec a façonné pour les petits Lavallois au cours de ces douze dernières années. Le service communication a donc dû s'exécuter, faisant même appel à une speakrine de France Bleue Mayenne afin de donner un aspect documentaire à ce publi-reportage. André Troadec a tenu tout particulièrement à ce qu'il soit projeté au conseil municipal du 5 octobre 2007.

En fait, ce fut la consternation qui prévalut au sein du Conseil Municipal et du public présent. L'opposition monta au créneau, une élue de la majorité fit part de sa déception, et des journalistes présents riaient sous cape.

Découvrant le film, François d'Aubert lui-même parut effaré. Un de ses proches déclarait le lendemain : "c'est malin, ça va rentrer dans nos comptes de campagne !".

André Troadec est également adjoint au personnel : nous attendons avec impatience la manifestation de son autosatisfaction en ce domaine…

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27 septembre 2007 4 27 /09 /septembre /2007 22:27

Depuis quelques semaines, un nouveau personnage est apparu dans le paysage municipal, marchant dans les pas de Monsieur le maire, au plus près du candidat en campagne. Alexandre Lanoë, jeune stagiaire de Sciences Po, fait son apprentissage dans un cabinet politique. Il se dépense sans compter. Les services commencent à le connaître ; en général, il les appelle en catastrophe, pour une urgence.

En fait, son omniprésence n'a désormais d'égale que la grande discrétion du Dir Cab en titre, Arnaud Derrien.

Après la dure défaite des élections législatives, un certain nombre d'élus ont rué dans les brancards et mis en cause le fonctionnement du cabinet, se plaignant de son "inefficacité", de la rétention d'informations, soulignant la nécessité de réorganiser ce service, et d'avoir un véritable directeur de campagne pour affronter l'échéance très difficile du mois de mars 2008.

Le gentil Arnaud ne méritait certainement pas un tel accablement. Toujours tiré à quatre épingles, poli et souriant, relativement détaché des attraits matériels du pouvoir, Arnaud recherche avant tout la tranquillité, l'apaisement et le consensus, ce qui lui a valu le sympathique sobriquet de "Bon-Bon".

Essuyant fréquemment les colères de son patron, il ne s'en offusque plus après 20 ans passés à ses côtés. Se faire oublier est désormais sa préoccupation quotidienne et il travaille tranquillement et sereinement à un recyclage qu'il sait inévitable. Il se marre au fond de lui-même en observant avec détachement l'agitation du petit Alexandre...

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