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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 10:23

ODILE s'en va, en toute discrétion...

 

 

Quelques fidèles, le reliquat de l'ancienne Direction Générale, des proches de son étage, réunis quasi clandestinement : c'est en toute discrétion qu'Odile nous quitte pour rejoindre le service des transports au Conseil général de la Mayenne, à quelques centaines de mètres. Nous sommes bien loin du raout prétentieux organisé pour Jean-Jacques Delory le 30 juin dernier.

 

Un tableau lui a été pieusement remis par ses fidèles.

 

La section UMP de la Mairie connaît donc une nouvelle désaffection, entre ceux qui sont partis ailleurs, ceux qui se font discrets, ceux qui sont partis à gauche ou qui clament qu'ils l'ont toujours été. Gérard, un fidèle, se sent désormais bien seul. Le poids de l'ancien système pèse de plus en plus sur ses épaules, et le 3 juillet, jour du CTP au cours duquel fut étudié le "bilan de la collectivité" (c'est à dire celui des 2 dernières années du système d'Aubert), il avait préféré partir en vacances la veille, laissant son adjointe présenter l'addition…

 

Mais revenons à Odile. Elle incarne vraiment l'ascenseur social au sein de la fonction publique territoriale : depuis le jour où elle servait les vins d'honneur à la mairie de Nantes, elle aura gravi tous les échelons de la fonction publique. Mais Laval, ce fut pour elle le jack-pot : En 4 ans, elle est passée d'attachée principale à directrice territoriale puis inscrite à la promotion interne sur la liste d'aptitude au grade d'administratrice au 1er février 2008, après une CAP (30 janvier 2008) de 7 minutes composée sur mesure de 2 de ses subordonnés, les représentants syndicaux ayant été écartés aussi bien de la réunion, que de l'accès au grade malgré leurs 15 ans d'ancienneté dans celui de directeurs. Laval est vraiment la capitale de la réalité virtuelle…

 

"Nos fonctionnaires ont du talent"…

 

C'était le nom d'une rubrique dans le journal du personnel "Laval Municipaux" ; tout ayant disparu, nous la reprenons.

 

Sous son air de miss anglaise au pair, Odile cache (bien) un être cultivé et sensible, et seule sa discrétion l'empêche de percer dans le monde littéraire. Hé oui, Odile écrit. Sa modestie dût-elle en souffrir, nous vous offrons, pour son départ, la nouvelle qui lui valut le 2ème prix du concours Stephen King et sa publication dans la revue "Ténèbres", alors qu'elle était à Asnières.


(Les illustrations sont de l'équipe du Vecteur) .

 

 

 


http://archives.arte.tv/cinema/king/ftext/2eprix.htm

 

 

 

 

 

 

GARDE MOI AUPRES DE TOI

De Odile Nedjaaï

ASNIERES

Après plusieurs mois de chaleur oppressante, le métro tenait du four à pizza. Ma robe légère en lycra adhérait comme une bande à épiler à ma peau moite et je regrettais l'air climatisé du bureau que je venais de quitter. Je n'avais pu trouver de place assise et ma main droite accrochée à la barre cylindrique à laquelle je me tenais, mélangeait sa sueur à celle des millions de voyageurs qui m'avaient précédée. L'une des publicités fixées au-dessus des vitres vantait les mérites d'un savon liquide anti-bactérien : " Au moins 1.700.000 germes sur chaque barre cylindrique ! Passez une bonne journée !". Cette annonce me donnait la nausée et je vis avec soulagement se profiler le quai de la station " Astor Place ".

Dehors, l'été indien dardait ses derniers feux sur New-York et l'air enfin ne brûlait plus les poumons. Je respirai à nouveau librement et traversai l'East Village en flânant dans les rues bordées de boutiques underground de fringues branchées, de piercing ou de tatouages. Comme souvent, je m'attardai devant une vitrine derrière laquelle une jeune femme se faisait tatouer un lézard sur l'épaule gauche. Le faisceau d'aiguilles qui entamait sa peau me fascinait. Je reculai lorsque le visage hiératique du tatoueur japonais se tourna vers moi. Puis je passai par le Tompkins Square où trois clochards cassaient la croûte assis sur un banc. Ils sortaient leurs sandwiches d'un sac en plastique imprimé du slogan en lettres rouges "I love N.Y " et jetaient quelques miettes aux écureuils peu farouches. Je pénétrai enfin dans l'avenue A d'Alphabet City, longeai les avenues B et C avant d'atteindre la limite de l'avenue D. Progressivement, l'atmosphère se modifiait. Les rues devenaient désertes, des tags, parfois très esthétiques, couvraient les murs, de hauts grillages entouraient de minuscules jardins, mi-terrains vagues, mi-dépotoirs.

Je montai les quelques marches qui menaient à l'entrée d'un immeuble vétuste et poussai la porte de mon minuscule appartement , redoutant le début de ce premier week-end de solitude. Tim était parti en stage pour trois mois à Seattle et je commençais déjà à appréhender son absence. Pourtant, notre histoire s'enlisait et cette séparation arrivait peut-être à point nommé. Pour tout dire, j'espérais paradoxalement que cet éloignement nous rapprocherait. Afin de me débarrasser des miasmes sub-urbains, je restai longtemps sous une douche alternativement brûlante et fraîche en écoutant un vieux disque d'Elvis Presley. Je ne me lassais pas de la mélodie de " Love me tender " et je me souvenais avec nostalgie du temps pas si ancien où je fredonnais à Tim " Never let me go ". Depuis, un quotidien insidieux m'avait fait renoncer à ces déclarations. Cela arrivait d'ailleurs de façon très banale à la plupart des couples qui ne songeaient même pas à s'en plaindre. Pourtant, je désespérais de ne pas avoir trouvé l'amour indéfectible, comme celui de la légende mythologique de Philémon et Baucis. Leur vœu de ne pas mourir l'un sans l'autre fut exaucé par Jupiter qui les transforma en chêne et en tilleul à l'âge de l'extrême vieillesse.

Quelques semaines auparavant, alors que je me baladais du côté de Canalstreet, j'avais acheté des friandises et quatre " fortune cookies " dans une pâtisserie chinoise. J'aimais ces petits gâteaux sablés qui contenaient une prédiction sur un fin papier de soie. La vieille femme au visage plissé comme un shar-pei qui me les avait tendus, m'avait dit dans un anglais approximatif, quelque chose comme " la vie est un arbre aux racines profondes ". Troublée par l'intensité de son regard et l'énigme de cette phrase, j'avais machinalement rangé les cookies dans mon sac et ce n'est que plus tard que j'avais déroulé les papiers qu'ils recélaient et qui représentaient un arbre du printemps à l'hiver. Je les avais trouvés jolis et les avais fixés sur le pense-bête aimanté de ma cuisine en me disant que ces Chinois savaient décidément allier le sens du mystère à celui du commerce.

Je passai une partie du samedi matin à paresser au lit puis j'appelai Tim et sa froideur me blessa. Je sentais obscurément qu'il me fallait un dérivatif pour ne pas sombrer dans la dépression. Je sortis sans but précis et mes pas me conduisirent à la boutique du tatoueur japonais. Il était seul et me fit signe d'entrer. Il était d'une beauté intemporelle et dégageait une sérénité apaisante. Il me fit asseoir et me servit un thé vert fumant en m'interrogeant sur mon goût des tatouages. Je ne m'expliquais pas cette attirance, mêlée de répulsion, pour cet art antique commun à de nombreuses cultures. Tim m'avait ainsi raconté les curieuses pratiques des anciens marins américains, qui, pour échapper à la noyade, se faisaient tatouer un coq et un cochon sur les pieds. D'autres préféraient le tatouage d'un Christ sur le dos afin d'échapper à la flagellation de capitaines chrétiens qui ne pouvaient commettre un tel blasphème.

Issey, puisque c'est ainsi qu'il s'appelait, m'expliqua les techniques modernes, et celle ancestrale du bokashi qui permet d'obtenir les plus beaux dégradés du monde, allant du noir profond au gris le plus clair. Il avoua avoir remarqué depuis longtemps ma peau du blanc crémeux des fleurs de magnolia et mes veines pleines de sève comme les nervures d'une feuille. C'était la toile la plus délicate, le parchemin le plus rare, le papier bible le plus raffiné, qu'il ait jamais vus. Il avait rêvé mille fois de me peindre intégralement et me supplia de lui accorder cette faveur. Si j'acceptais, il ne me demanderait aucun honoraire mais je devrais me remettre totalement entre ses mains, aussi bien sur le sujet de l'œuvre que sur le choix de la technique employée. Un tel engagement m'effrayait. Comme je m'enfuyais en déclinant sa proposition, il ne chercha pas à me retenir.

J'avais besoin d'entendre Tim mais il me fut impossible de le joindre avant une heure tardive. Sa voix réticente me dissuada de lui parler et quand il me rappela le lendemain, j'entendis derrière lui des bribes de conversation et je renonçai à nouveau. Je me sentais seule : un compagnon distant, une famille éloignée, des collègues insipides, quelques relations superficielles. La seule personne qui semblait me porter un réel intérêt était Issey et il ne me fallut pas plus de quelques jours pour m'abandonner à sa volonté.

Quand je le rejoignis le vendredi suivant après une semaine consternante au bureau, il me conduisit au fond de la boutique, dans une vaste pièce au décor végétal. Par la fenêtre, j'apercevais un joli jardin et un arbre gracile qui ployait en gémissant sous une soudaine bourrasque. Il me fit étendre sur une table recouverte de tissu éponge et massa ma nuque tendue par la crainte de la douleur. Il calma mon appréhension en me servant un verre de vin de prune et en parfumant la pièce d'un encens japonais aux fleurs de thé. Puis il m'expliqua que le tatouage prendrait plusieurs semaines. Il l'effectuerait recto verso dans des conditions de totale asepsie et commencerait par les pieds puis remonterait progressivement vers les jambes, les cuisses, le ventre et les fesses, les mains et les bras, le torse et le dos. Mon visage resterait intact. Comme il me l'avait dit, je ne pus obtenir aucune indication sur le thème du tatouage et il me demanda avec une douceur sans réplique de ne pas insister .

Je commençai à me détendre et fermai à demi les yeux. Dehors, l'arbre solitaire semblait frissonner bien que le temps fût encore doux. Ce petit jardin en plein Manhattan me semblait miraculeux. Issey m'expliqua qu'il avait une relation vitale avec la nature et qu'en quelque endroit qu'il vive, il aimait féconder la terre. Ce cerisier du Japon, il l'avait planté l'année dernière et il était sa seule compagnie, plus fidèle selon lui qu'une amante. Il aimait en prendre soin, enserrer son tronc souple entre ses bras et caresser ses branches flexibles. L'étrangeté d'Issey ne m'inquiétait plus et je me laissais emporter dans son monde plein de poésie. Je le vis choisir un dessin sur un papier calque dans un grand album et préparer des pigments bruns qu'il mélangea à un liquide blanchâtre. J'avais envie de l'interroger mais je savais qu'il ne me répondrait pas. Il m'avait juste dit qu'il n'utiliserait pas la machine électrique ni les encres modernes. Il préférait la combinaison de substances naturelles et de sucs végétaux et l'emploi d'aiguilles traditionnelles.

Le transfert du dessin sur mon pied droit ne fut pas douloureux mais plutôt horripilant comme un chatouillement dû au tracé du crayon ectographique. Je dus me contrôler pour ne pas retirer mon pied. Issey le sentit et me demanda de ne pas bouger quand il commença le travail des aiguilles. Il ne voulait pas que la souffrance soit intolérable et si j'avais mal, je n'aurais qu'à boire une gorgée de vin de prune dans lequel il avait versé un léger narcotique. Cette attention me rassura et je ne tardai pas à tremper à nouveau mes lèvres dans la boisson ambrée. J'avais en effet l'impression qu'il découpait lentement ma peau en fines lamelles ou qu'il la brodait au petit point et l'absence de chair sur le dessus du pied rendait la douleur plus cuisante. Le narcotique m'insensibilisa rapidement et je fermai totalement les yeux.

Quand il eut terminé, Issey appliqua une pommade herbacée sur mon pied qu'il recouvrit d'un pansement et me demanda de revenir le lendemain pour le pied gauche. Je parvins à joindre Tim en fin d'après-midi et nous échangeâmes quelques propos sans importance. Je repoussai à plus tard la nécessité de lui parler de mon tatouage, craignant plus son indifférence que son désaccord. C'est la nuit que la douleur se réveilla : lancinante, taraudante, térébrante. J'occupai mon insomnie à trouver l 'épithète le plus approprié. Pourtant je savais que la douleur ne me ferait pas renoncer. Sans doute m'y habituerai-je et d'autres parties du corps plus charnues seraient-elles moins sensibles. Et puis n'était-ce pas la seule façon de revoir Issey ? de laisser ses mains progresser lentement sur mon corps et effleurer ma peau diaphane qu'il semblait affectionner ? Je pensai que s'il avait commencé par les pieds, c'était moins pour ménager mon éventuelle pudeur que pour le sens qu'il voulait donner au tatouage. La culture occidentale prêtait peu d'intérêt à cette partie de l'anatomie mais l'Orient y situait sur la plante la conjonction de nombreux centres nerveux.

Le lendemain matin, je suivis les instructions d'Issey. J'enlevai le pansement légèrement souillé d'encre et de sang et désinfectai mon pied. Avant de l'enduire de pommade cicatrisante, je regardai le tatouage qui consistait en un faisceau de filaments bruns. Je ne fus pas étonnée de ne pas en comprendre la signification. Puisqu'il faisait partie d'un tout, seule sa réalisation complète ou au moins plus avancée me permettrait de le déchiffrer. Cette attente ne me déplaisait pas mais que se passerait-il lorsque Issey aurait achevé son œuvre ? Se désintéresserait-il de moi ? Je ne pouvais l'envisager et préférais penser qu'il ne pourrait se séparer du tableau vivant que j'allais devenir.

Les jours et les semaines passaient et je me rendais chaque soir et chaque week-end chez Issey. L'automne était arrivé et les feuilles du cerisier du Japon étaient de plus en plus clairsemées. La fraîcheur de la température me permettait de porter à nouveau des collants opaques ou des pantalons qui cachaient le tatouage de mes jambes. Les filaments bruns sur mes pieds s'étaient épaissis en remontant sur mes mollets et quand le dessin atteignit le haut de mes cuisses, je reconnus les racines d'un arbre et la naissance d'un tronc à l'écorce brune. Issey souriait sans me démentir. Mes relations avec lui avaient pris un tour plus intime et les séances de tatouage se prolongeaient maintenant dans la chambre voisine. Ses raffinements amoureux qui surpassaient encore sa technique consommée du tatouage, me faisaient passer des heures délicieuses. Quand je lui disais de me garder auprès de lui, il répondait qu'il en serait toujours ainsi.

Je ne songeais même plus à appeler Tim et c'est sans émotion que je lus sa lettre de rupture. C'était étrange mais il ne faisait déjà plus partie de ma vie que je n'imaginais plus désormais sans Issey. La fin du mois de novembre approchait. L'arbre prenait forme sur mon corps et des branchages partaient de mon ventre jusqu'à mes épaules et à l'extrémité de mes bras. Issey était de plus en plus tendre et il m'annonça bientôt que le tatouage était terminé. Il était superbe et sublimait mon corps. Comme je m'étonnais toutefois de la nudité des branches, Issey me rappela que la floraison ne se produisait qu'au printemps et qu'il fallait attendre. Je n'étais pas pressée et l'idée de l'éclosion des fleurs et du feuillage en accord avec les saisons me ravissait. Nous fêtâmes cet événement avec du vin de prune puis nous rejoignîmes la chambre. Issey m'étreignit longuement et je sombrai dans un sommeil profond.

J'eus l'impression de dormir longtemps et lorsque je m'éveillai, je me sentis pleine de jeunesse et de vigueur. Je voulus étirer mes jambes et mes bras mais je m'aperçus que j'étais clouée au sol par de profondes racines et que c'étaient des ramures chargées de fleurs virginales que je tendais vers le ciel. Près de moi, le cerisier du Japon déployait une profusion de corolles fuchsia et ses branches joyeusement agitées par la brise printanière, semblaient se réjouir de ma compagnie.

Derrière la fenêtre, une jeune femme nous regardait et je n'eus aucun mal à lire sur les lèvres d'Issey les mots qu'il prononçait : " Cela fait déjà longtemps que j'ai remarqué votre peau du rose tendre des fleurs de pêcher. Je ne pouvais rêver d'une écorce plus fine, d'un vélin plus précieux, d'une soie plus nacrée… "

 

 

 

 

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commentaires

B
Théorie Parkinson : Cette théorie affirme que plus une entreprise croit<br /> et plus elle a tendance à embaucher des personnes incompétentes et cher<br /> payées. En effet, les cadres en place favorisent ce type d'embauches<br /> pour limiter la concurrence. Et en les payant bien ils achètent la paix<br /> sociale. Pas mal non ;-) Qui a dit que les entreprises et/ou les mairies étaient gérées<br /> de façon rationnelle. ?
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J
En résumé, plus un fonctionnaire vole bas plus son ascension hiérarchique atteint les sommets. Et plus le fonctionnaire atteint les astres supérieurs, moins il faut s'attendre à rencontrer une lumière.
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C
Et M. B., il est parti avec un petit matelas et lui, ce n'est ni pour bons et loyaux services, ni pour dédommagement des préjudices subis antérieurement, non juste pour qu'il parte. Environ 6 mois de salaire pour 3 ans et 1/2 de contrat, pas mal !Ouest France avait salué son arrivée :http://www.ouest-france.fr/2004/12/16/pays-de-loire/-Stephane-Butny-est-le-nouveau-directeur-de-...-44738664.htmlIls n'ont rien dit pour son départ.
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A
FO a t il fait un petit pot pour les 20000 euros de M. P ?
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S
Elle a récidivé en 2006 :Palmarés du concours de nouvelles 2006 de la revue Hauteurs organisé autour du sujet "le secret"3ème prix de la nouvelle littéraire 2006 : Odile Nedjaaï, Jardin secrethttp://hauteursenligne.canalblog.com/archives/2008/06/09/index.htmlDécidément, son emploi de directrice adjointe ne devait pas être trop harassant et lui a laissé suffisamment de temps pour reprendre le stylo. A moins qu'elle n'ai recyclé la même nouvelle sous un nouveau titre. Si c'est le cas, son avenir littéraire est plutôt à la décote puisqu'elle passe de la 2ème à la 3ème place. Pour l'évaluation des performances se n'est pas très bon, la prochaine fois, elle sera au pied du podium...Allez souhaitons bon courage aux collègues du CG53 qui vont goûté à son management et à ses compétences en matière de transports (moins érotiques ceux-là) !
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